The post Jake et Hollie des États-Unis appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>La qualité de la fabrication est remarquable, le bateau semble solide. Nous sommes convaincus que c’est le bon bateau pour nous.
Nous avons décidé d’acheter un NEEL 45 en début d’année et nous avons récemment réceptionné notre bateau à La Rochelle. Nous avons le sentiment que le bateau réunit chaque élément de design que nous considérons essentiel pour un long voyage.
NEEL-TRIMARANS a travaillé en relation étroite avec nous tout au long de la construction et s’est assuré que notre bateau corresponde exactement à nos exigences. Nous ne pouvons pas être plus satisfaits de cette interaction entre Eric Bruneel, son équipe et le produit final, notre bateau : « ça y est ».
Télécharger le témoignage (pdf)
The post Jake et Hollie des États-Unis appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Yvon loue un NEEL aux Antilles appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>On a profité d’une descente de vent du Nord du côté de la Corogne, on a mis un peu moins de 48 heures pour y arriver. On savait que le vent serait fort, on a eu des rafales à 40 nœuds. On s’est mis sous trinquette, vent de nord-ouest et mer chaotique, houle de 5-6 mètres, le bateau descendait les vagues, on a fait des pointes à 25 nœuds. On était bien installés dans le carré, à l’abri. On n’a jamais été inquiets.
Le bateau est facile dans toutes les conditions et c’est un avantage en équipage réduit. C’est un bateau qui fait 7-8 tonnes, sa vitesse est 20 à 25 % plus élevée qu’un multicoque de même taille. Dans le petit temps, il est vraiment performant et quand on le pousse au moteur, il consomme très peu. J’ai fait 100 heures de moteur avec 160 litres de gazole à 5,5 nœuds de moyenne, c’était pour sortir d’une grosse bulle sans air. Sa surface mouillée est très faible ce qui explique sa vélocité.
Le trimaran se comporte de temps en temps comme un monocoque, de temps en temps comme un catamaran. Quand on est au près, on a le sentiment d’être sur un monocoque et quand on fait du vent arrière ou du grand largue on est sur un catamaran. Dans un mouillage agité, il est confortable comme un multicoque.
Par rapport à un cata, on a cessé d’avoir un bateau ennuyeux, avec ce bateau-là tu t’amuses en mer !
On a essayé beaucoup de catamarans, il n’y a pas beaucoup de bateaux sur lesquels on aimerait naviguer.
Le retour de nos clients en général : c’est un bateau rapide qui te fait oublier que tu navigues sur une mer agitée, comme on peut la rencontrer souvent aux Antilles. Si tu as un bateau rapide, tu as gagné 20 % de temps et ton bateau a tremblé 50 % de moins qu’un autre. Quand tu arrives dans un mouillage avec le trimaran, tu suscites l’intérêt. Un de nos clients qui a loué 3 mois cet hiver, nous l’a réservé à nouveau pour l’année prochaine, il dit qu’avec ce bateau, il se fait des copains… Il y a beaucoup de gens qui disent : « on aura du mal à refaire du Cata quand on a vécu ça..»
Télécharger le témoignage (pdf)
The post Yvon loue un NEEL aux Antilles appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Laurent et Cathy – Antilles appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>Par chance, il fait un temps clément à La Rochelle, ce qui est plaisant pour les derniers préparatifs. 2 décembre 2015, 18h15, après un chaleureux ti’punch avec la Neel Team , levée du pont et départ pour la traversée du golfe de Gascogne . Bon vent, belle mer, Ti’foufou avance bien. Déjà se profile l’arrivée à la Corogne, plus que 5 jours de mer de face dans 3 mètres de creux, l’accostage au moteur pour les novices que nous sommes et par ce vent fort se passe finalement bien grâce au propulseur d’étrave « notre second moteur » 5 décembre 2015, nous repartons en équipage réduit, à deux ! Passage du Cap Finistère au moteur par très beau temps. Malgré le vent de face nous avançons bien mais St Barth est encore loin …
Escale très agréable à la marina Douro à Porto . Arrivée spectaculaire en surf à l’entrée du port avec toujours 3 mètres. 10 décembre 2015, départ vers Lanzarote , les îles Canaries. Arrivée à la très belle marina Rubicon ou Ti’foufou connaît un franc succès. Les manœuvres d’accostage s’améliorent. Nous profitons de cet arrêt pour faire les pleins : ce qui reste assez incroyable c’est l’économie du moteur diesel Volvo qui ne consomme pour ainsi dire RIEN……
16 décembre 2015, départ pour l’Atlantique par 25 Kt. Nous sommes à 8 nœuds au près. Nous poursuivons vers le Cap Vert pour trouver les Alizés. Nous aurons pour toute la traversée environ 20 Kt plein Est avec une mer croisée assez dure car nous subissons de la houle NW de l’Atlantique Nord. Ti’foufou marche en moyenne à 8 nœuds dans un champ de mines, mais passe toujours en douceur. Nous arrivons à Saint Barth le 4 janvier sous le soleil de la nouvelle année après de longs surfs séquencés par de nombreux empannages Nous avons ensuite passe tout l’hiver dans les Caraïbes avec des amis à bord qui ont beaucoup apprécié son confort au mouillage et en navigation.
Aujourd’hui je commence à avoir Ti foufou bien en main, il est très facile que ce soit à la voile ou bien pour les manœuvres d’accostage. C’est un vrai plaisir de naviguer sur un bateau qui est beau et rapide et léger !Télécharger le témoignage (pdf)
The post Laurent et Cathy – Antilles appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Jean Marie skipper du NEEL 45 Racing – ARC Rally 2015 appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>Le départ de Las Palmas s’est très bien déroulé dans un vent de 3/4 arrière de 30 nœuds, et nous nous sommes assez rapidement retrouvés aux avant-postes. L’ambiance du bord était parfaite, chacun avait son rôle, et Roger nous a régalés de bons petits plats bien mitonnés, avec bien sûr tous les soirs un petit apéro pour garder le moral… Nous avons même pris le temps de remonter une dorade coryphène, qui nous a régalés plusieurs jours. Au niveau de la course, quel plaisir de voir sur l’AIS autour de nous les bateaux de plus grande taille avec des équipages de 8 à 12 personnes. L’ambiance entre les concurrents de cette épreuve était très sympa et nous avons communiqué par mail avec certains équipages rencontrés avant le départ à Las Palmas.
Les couchers de soleil, arcs-en-ciel et autres nuits étoilées nous ont émerveillés et nous étions très détendus, bien qu’accrochés à cette pole position des multicoques, qui finalement nous allait parfaitement bien… Nous sommes arrivés de nuit sur Ste-Lucie après 13 jours et 11 heures de traversée, pour 2957 milles parcourus.
Le second, l’Outremer 51 « Wanderer », est arrivé 6 h00 derrière nous, et c’est à grand renfort d’apéro que nous nous sommes raconté notre traversée. La moyenne sur cette traversée est proche de 10 nœuds, et notre record de vitesse s’établit à 19,7 nœuds. Seul le pilote automatique a su faire mieux que nous, avec une pointe à 20,5 nœuds… L’ARC est une bonne épreuve pour des marins comme nous, la convivialité est très présente, et beaucoup d’équipages y viennent pour être encadrés et suivis par une organisation à la rigueur anglo-saxonne.Télécharger le témoignage (pdf)
The post Jean Marie skipper du NEEL 45 Racing – ARC Rally 2015 appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Philippe & Anne – Guadeloupe appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>Mais comment composer avec Anne mon épouse, qui n’aime pas naviguer, encore moins manœuvrer qui déteste la gite et qui ne jure que par le confort, l’espace et le farniente. Elle cherchait un appartement elle a trouvé un loft, facile à entretenir avec des matériaux résistants qui gardent leurs couleurs, elle cherchait le côté féminin elle a trouvé le NEEL 45, c’est devenu SON bateau.
Depuis nous multiplions les navigations pour notre plus grand plaisir en toute sécurité, je retrouve le plaisir de doubler facilement ceux qui sont devant, sans risques, en famille, moi qui pensait qu’un bateau restait toujours un compromis. Le NEEL 45 au mouillage ?je dirais que c’est encore plus d’avantages, il reste en ligne, stable, cohérent dans les déplacements et l’utilisation des différents volumes favorisant la détente, le repos, les bains de soleil, l’embarquement dans l’annexe ou bien la prise du mouillage, le silence règne, on y dort bien.
Enfin mon regard technique impose une forme de déférence pour ceux qui ont imaginé et conçus le NEEL 45 car mis à part l’ensemble de ses qualités évoquées ci-dessus, l’homme d’entretien sera lui aussi également comblé. Quel bonheur, tout est apparent facile d’accès, logique.
Que ce soit l’ensemble de l’appareil à gouverner, les drosses de barre, l’accès au moteur qui reste protégé, et l’ensemble des composants restituant l’énergie du bord totalement accessibles dans la vaste coque centrale, chapeau ! Notre bonheur est total, en plus l’équipe du chantier est sympathique ! »
Télécharger le témoignage (pdf)
The post Philippe & Anne – Guadeloupe appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Anthony et Danielle – Angleterre appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>En 2014 nous avons regardé les monocoques, les catamarans, et même les voiliers classiques, mais quand nous avons vu le NEEL 45 nous savions que nous avions trouvé notre bateau idéal.
Antony voulait de la performance et de l’agilité sans compromettre le confort (peut-être cela venait plus de moi) et je voulais apprécier la navigation à moins de 45 degrés de gite ! Nous avons pris livraison de Trietto en mai 2015, et en juillet 2015, Antony, notre fils Adam, et trois autres amis ont traversé le golfe de Gascogne, sont descendu le long de l’Espagne et du Portugal jusqu’à Cadiz où je les ai rejoints. La traversée du golfe de Gascogne à prie deux jours et deux nuits malgré une mer très formée, la première nuit était une super navigation sur un seul bord récompensé par la visite de dauphins et un groupe de baleines.
La descente de la côte ouest du Portugal était plus excitante et Trietto s’en est très bien sorti. A Cadiz, notre fils et ses amis sont retournés au Royaume-Uni, et à quatre nous avons traversé le détroit de Gibraltar dans le brouillard (de jour comme de nuit). Nous avions choisi une central B&G de navigation et un radar, combiné avec AIS, cela s’est avéré indispensable dans un tel brouillard. On entendait les cornes de brume des cargos commerciaux dans le chenal de séparation du trafic mais heureusement nous étions à bonne distance.
A Tarragona, nos amis sont rentrés chez eux, nous laissant Antony et moi naviguer Trietto jusqu’à Cogolin où on avait un mouillage permanent. C’était la première fois qu’Antony et moi-même naviguions en voilier sans famille comme équipage et nous étions ravis d’être capables de naviguer Trietto à deux – Cela avait toujours été notre intention. Dans mon intérêt, on avait commandé un winch électrique à tribord afin de pouvoir hisser la grandvoile et établir les voiles en toute facilité. En route nous nous sommes arrêtés à Arenys de Mar et Port Vendres avant de traverser le Golfe du Lion pour aller vers La Camargue. Nous avons été chanceux de traverser avec une mer calme et avons passé une nuit dans une magnifique baie.
Le lendemain nous avons navigué via l’île de Porquerolles avant d’arriver à Cogolin- Antony a navigué avec Trietto 1970 milles nautiques depuis son départ de La Rochelle 3 semaines plus tôt.
Trietto a été à la hauteur de toutes nos attentes ; le bateau est très facile à naviguer en équipage réduit, l’aspect global de la table à cartes et du salon est formidable et permet aussi de naviguer dans du mauvais temps en toute simplicité. Le bateau est très confortable et nous adorons nous réveiller avec une véritable vue sur mer quand on est au mouillage. L’amarrage demande un peu d’adaptation au début (le propulseur d’étrave est très pratique). Une fois amarrés nous suscitons très souvent l’admiration provenant de propriétaires de monocoques et de catamarans.
Quand nous aurons plus de temps, nous aimerions beaucoup faire des navigations plus longues et explorer d’avantage la Méditerranée, et nous n’imaginons pas un meilleur voilier sur lequel faire cela. »Télécharger le témoignage (pdf)
The post Anthony et Danielle – Angleterre appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Elohim, Aude et leurs enfants appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>Un bateau pour ami
Trois ans plus tard. Mouillé dans le bleu insolent du lagon de Fakarava, c’est le bilan de l’aventure. Il est 5h30, Aude, Fanny et Lancelot dorment encore. Je somnole sur les filets de mon trimaran et défilent les souvenirs de notre périple, tous les paysages et les couchers de soleil, les amis rencontrés, la beauté de la faune et la flore sous-marines. Les joies, les peines, la fatigue, la peur mais toujours suivit du réveil comme au premier jour du monde. Les glisses rapides entre les îles et l’éloge de la paresse. Après trois ans de navigation, la mer nous a façonnés. Cette grande « inconnue » nous est devenue familière. Mais à bien y réfléchir, le personnage principal, le vrai héros de cette histoire, c’est notre bateau ! Au fil des miles, il est devenu membre à part entière de l’expédition et de notre famille. Affectivement c’est indéniable, il a désormais toute sa place. Matériellement c’est certain, nous avons joui de son confort. C’est un cocon ! Techniquement, le capitaine ne peut que s’incliner. Ce bateau se manie comme une mobylette. Tout est simple et dégagé. La GV peut se hisser sans winch. Les efforts en jeu sont faibles en comparaison d’un catamaran de même taille. Ce trimaran satisfait toutes les demandes. Comme Un simple bouton à activer et l’on passe de la petite croisière sous pilote pour pêcher en regardant le coucher de soleil, à une navigation mordante, vive, précise et jouissive à la barre. A 12 ans, Lancelot fait ses quarts de nuit bien installé devant la table à carte. Vent, vitesse, angle, AIS, Radar. Je peux dormir tranquille. Même Fanny, du haut de ses 5 ans, est capable d’observer la force du vent et l’AIS pendant 15 ou 20 mn, le temps pour le capitaine d’une petite sieste. Alors oui, le choix du NEEL 45 a été le bon. A coup sûr.
En route vers le paradis
Avec Aude, ma compagne, et nos enfants, nous avions un tour du monde par la terre à notre actif et décidé de faire le prochain par la mer. Un stage aux Glénans, deux ans de convoyages, de l’Atlantique à la Méditerranée, 7 000 Nm à la voile dans les bottes, plus tard, je ne suis plus un novice mais… j’ai encore tout à apprendre. Et surtout reste à trouver le bateau. Un bateau de voyage au long cours pour une famille, à la voile, rassurant, simple et fonctionnel, rapide et procurant des sensations… Le fameux mouton à 5 coques. C’est, au salon de La Grande Motte, que se fait LA rencontre, sur le stand de NEEL-TRIMARANS. Le NEEL 45 qui correspond à notre budget est encore sur plan. Mais l’affaire est conclue. Quelle impatience durant la construction et quel bonheur cette première navigation pour acheminer notre NEEL de la Rochelle jusqu’à la Grande Motte ! Petit chantier d’aménagement intérieur, à la Grande Motte : une salle de bain délivrée de son évier pour devenir une grande douche, une chambre modulable pour Lancelot (lit simple ou double), la pointe avant avec plancher de plein pied pour Fanny, des bannettes dans un flotteur. Quelques temps de chantier et des navigations le dimanche, avec les copains, pour apprendre à manier la bête. Départ annoncé au début de l’hiver 2013. Pas de fenêtre météo pour les Baléares. Tant pis ! Après trois semaines d’attente, il faut bien partir. Pour cette première traversée, nous sommes secoués comme jamais plus nous le serons durant nos trois ans de navigation. Ensuite, tout s’enchaîne magnifiquement. En toile de fond, tout de même, les conditions « musclées » de la Méditerranée. Alors, à l’arrivée aux Canaries, le verdict tombe : je serais seul à bord pour la traversée de l’Atlantique. C’est ma première transat et ma première nav’ en solitaire. Bien sûr, j’appréhende. Un routeur à terre me guide grâce à mon Iridium. La traversée est longue et éprouvante avec des changements de temps continuels. Et même, une tempête de 24 h : 50 Nds de vent dans le mauvais sens et des vagues de plus de 4 m. Des déferlantes tout autour dans un bruit assourdissant. Je me mets en fuite en attendant que ça se calme. Le bateau dévale les vagues tranquillement à 7 Nds sans vraiment surfer à sec de toile. Passer les première heures de surprise, je laisse le pilote travailler à ma place et finis même par m’endormir en ciré et harnais à même le sol. Belle expérience et une arrivée triomphale à St Martin pour retrouver ma famille et visiter les îles des Caraïbes. Lorsque Noé, un des deux grands frères de la famille, vient nous rejoindre, Fanny et Lancelot partagent une chambre. Nous sommes à l’aise, même à cinq à bord. Quand les conditions sont parfaites, tout le monde veut être à la barre. Un souvenir mémorable au large de la Colombie. Quel plaisir, quelles sensations ! 2 ris/trinquette, grand largue, vent et vagues… Les drosses de barre en dyneema font merveille et une vague sur deux se négocie à plus de 17 Nds. On glisse parfois 20s sur la même vague. Noé atteint le record du bateau en frisant les 25 Nds dans un surf d’anthologie. Quel plaisir de voir les fines étraves fendre les vagues sans heurts ni freins. Bien sûr la « prise de care » du flotteur sous le vent à grande vitesse est très puissante et engendre des accélérations latérales assez fortes. Mais lorsque l’on réduit la toile, tout redevient calme, en quelques secondes. La traversée du Pacifique de Panama aux Marquises en passant par les Galapagos est un vrai régal. Avec des vents constants entre 12 et 20 Nds bien orientés, on touche seulement trois fois aux voiles. Avec 15 jours de navigation pour une moyenne de 9 Nds. On est fier de notre navire. On a beaucoup navigué et vite pour arriver jusqu’en Polynésie, 20 000 Nm et un an jour pour jour après le départ. Et voici près de deux ans qu’on traîne nos trois étraves au paradis. Les Marquises, les Tuamotus, les îles de la Société…. Nous en avons bien profité et il sera vraiment dur d’en partir. Car oui, définitivement, c’est l’endroit idéal pour naviguer et vivre pleinement sans limites. Un plan d’eau grand comme l’Europe qui vous fait oublier le reste du monde. Le voyage touche à sa fin. Le bateau est en vente, comme prévu. La dernière ligne droite sera courbe et rapide. Nouvelle Calédonie puis Nouvelle Zélande où le bateau va sagement attendre les nouveaux et chanceux acquéreurs. Acquéreurs à qui je conseille vivement un retour en Polynésie où les 3 étraves du NEEL 45 savent par cœur où fendre sans danger le bleu turquoise des lagons du paradis.
L’avis du capitaine
Le NEEL a un gros défaut : il plait à tout le monde. Dans les Caraïbes, il était rare de trouver un mouillage sans que très rapidement des annexes viennent tourner autour de nous. J’ai fait visiter notre bateau un nombre incalculable de fois. On se fait souvent une idée fausse de ce bateau. Bien entendu le NEEL est rapide mais c’est bien un bateau de croisière confortable avant tout. Oui c’est un trimaran, de la conception à la navigation mais pas besoin d’être un marin émérite pour naviguer avec. Je dirais même qu’il est plus simple à utiliser que beaucoup de catamarans. Il n’a pas ces mouvements violents et hiératiques et ne tape presque jamais sous les ailes. Mon bilan bateau est plus que positif : sécurisant, rapide, simple, confortable à la mer… À refaire mon périple, je prendrai le même. Quelques améliorations seraient toutefois bienvenues. Un meilleur plan anti-dérive. Malgré le très bon centrage des poids, je l’allongerais un peu pour une meilleure glisse. Pour le reste, je garde tel quel. »
Télécharger le témoignage (pdf)
The post Elohim, Aude et leurs enfants appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Notre expérience NEEL : Matthias et sa famille appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>Ce qui est le plus frappant est la facilité à manier ce trimaran seul, toutes les manœuvres peuvent être faites d’une seule main sans problème, le toucher de barre est si sensible qu’il offre ce plaisir inégalable de sentir le NEEL dans le bout des doigt , une réactivité toujours présente, nous ne connaissons pas un autre navire sur le marché aussi simple et agréable à vivre en navigation restreinte.
Cette première navigation nous a permis de connaître tous type de mer et nous avons toujours senti le trimaran confortable et sûr, les vagues sont naturellement ben négociées même par mer croisée sans danger.
Les NEEL sont connus pour être des voiliers rapides donc même avec notre jeune famille à bord nous constatons que nos navigations quotidiennes sont de l’ordre de 150 à 200 mn /24 H de plus ce qui est très appréciable c’est la possibilité de faire de la voile avec très peu de vent quand surtout la plupart des autres bateaux sont encore au moteur alors que nous profitons de la nature.
Les matériaux de haute qualité permettent aux enfants en bas âge de vivre pleinement leur expérience, pas de concessions à faire, l’ensemble est très résistant.
Nous vivons à temps plein à bord et le chantier NEEL a parfaitement bien réalisé le concept équilibré de l’énergie du bord, nous sommes donc très indépendants sur ce point. De plus, le bateau est très bien ventilé, avec sa grande porte coulissante et ouvertures en écope parfaitement bien située, il est possible de gérer les flux d’air à bord.
Enfin et parce que le volume de la coque centrale est parfaitement accessible et protégé, l’accès technique est particulièrement agréable notamment au niveau de la plomberie par exemple ce qui est rare.
Télécharger le témoignage (pdf)
The post Notre expérience NEEL : Matthias et sa famille appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post Pascal et Marie à bord de leur NEEL 45 appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>Modestes ambassadeurs du savoir-naviguer français à l’étranger, nous ne pouvons alors pas nous dérober. Nous sommes contraints d’apporter des réponses pudiques et factuelles pour calmer le jeu. Mais là encore, ces échanges suscitent des sifflements admiratifs, des « amazing » enamourés et des applaudissements nourris … qui nous empêchent de voyager incognito et nous surchargent quelque peu en visites du bateau et en apéros.
Alors bien sûr, au-delà de cet inconvénient majeur, notre NEEL 45 a quand même quelques qualités. Ce sont celles bien connues des trimarans auxquelles s’ajoute l’originalité du concept qui nous séduit toujours autant pour son confort, et la maîtrise du chantier NEEL-TRIMARANS sur les éléments essentiels que sont à nos yeux la rigidité de la structure et le respect du devis de poids.
Nous vérifions ainsi tous les jours :
Ah, nous vous laissons. Deux catamarans, canadien et américains, que nous venons de « pulvériser » en mer il y a deux heures, entrent à leur tour dans la baie de l’archipel des Exumas dans laquelle nous sommes mouillés. Déjà les applaudissements retentissent, il nous faut encore aller faire les beaux. C’est vraiment pénible !!!
PS : Vous pouvez nous suivre en ligne sur Facebook : « le voyage de KEZEO »
Télécharger le témoignage (pdf)
The post Pascal et Marie à bord de leur NEEL 45 appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>The post THE RACE 1000 MILES appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>La Race-1000 Miles est organisée par la compagnie de charter Pitter (Autriche) tous les 4 ans. Pour cette édition, 36 bateaux étaient inscrits (Bavaria, Salona, Jeanneau, Sunbeam, un Class 40, 3 Multicoques (NEEL 45, 2 Nautitech 40)).
Bateau : NEEL 45 « ONZE », année 2014 avec gennaker enrouleur inclus
Date de début : 30 septembre 2018 à partir de Cogolin, Date de fin : 10 novembre 2018 à Cogolin
Ports visités : Cogolin-Grossetto-Positano-Tropea-Lastovo (Croatie)-Hvar-Biograd-Lefkas (Grèce)-Biograd-Lastovo-Marina Cala Ponte (Italie)-Tropea-Marina Nettuno (Anzio)- Villefranche sur Mer-Cogolin
Distance parcourue : 3300 milles nautiques, 23 jours en mer, vitesse moyenne 6kn ou 144 milles nautiques par 24 heures. D’après le traqueur de course, la vitesse maximale était de 22,6 nœuds.
Nos résultats :
Qu’est-ce que les équipiers disaient ?
1. Ils ont aimé les bonnes performances au près, même sans dérive. L’arrivée de l’étape 2 s’est déroulée au près contre un Bavaria 56 sur plus de 10 milles dans des vents de 2-6 nœuds, où nous avons terminé à environ 5 minutes devant le Bavaria.
2. Le bateau peut facilement atteindre 7-11 nœuds de vitesse dans des vents de 7-15kn.
3. Le bateau est très silencieux à l’intérieur.
4. Dormir et cuisiner n’est pas un problème, même au près, personne ne s’est plaint, tous ont bien dormi.
5. Si le mauvais temps approche et qu’il n’y a pas de vent, vous pouvez faire 9-10kn sous le moteur afin de courir vous mettre à l’abri.
6. Le cockpit avec la tente du cockpit offre un bon abri contre les éléments, mais aussi à la barre vous ne recevez pas beaucoup d’embruns.
7. Si nécessaire, vous pouvez diriger le bateau de l’intérieur de la cabine avec le pilote automatique.
8. Le bateau a beaucoup d’espace de rangement et un très bon système de refroidissement.
Avons-nous eu de gros problèmes ?
Non, les seules choses que nous avons connues sont des problèmes très mineurs comme la poignée de la porte des toilettes qui ne fonctionnait pas correctement ou un tiroir du bas dans la zone de la cuisine qui ne vouait pas rester fermé, ou une pomme de douche qui est tombée après un court moment en mer. Download testimonie (pdf)
The post THE RACE 1000 MILES appeared first on NEEL-TRIMARANS.
]]>